Cette série de prédication a pris place de septembre à décembre 2018 en l’Église réformée baptiste de la Trinité, à Montréal (Québec, Canada). Elle contient en réalité huit prédications, mais la dernière (sur Matthieu 6.15) n’a malheureusement pas été enregistrée. Il est possible que je prêcherai à nouveau sur ce texte lors d’un déplacement dans l’avenir. Auquel cas, j’ajouterai cette prédication à la liste ci-dessous.

Les prédications de cette série

#1 – Le premier acte de pardon de l’histoire

Texte : Genèse 3.1-21

Le chapitre 3 du livre de la Genèse décrit un évènement dramatique ayant des conséquences cosmiques : l’homme et la femme cèdent à la tentation de satan, transgressent le commandement spécial de Dieu, et brisent l’alliance de la créationque Dieu avait généreusement établie. Mais, si ce texte décrit la toute première offense de l’histoire, il met aussi en évidence le tout premier acte de pardon divin.

#2 – Cain, Abel, et la grande histoire du pardon

Texte : Genèse 4.1-15

Vous connaissez sans doute l’histoire de Caïn et Abel. Même si la narration est assez accessible, ce texte contient plusieurs problèmes théologiques et exégétiques apparement insolubles. Par exemple : (i)Pourquoi Dieu a-t-il agréé l’offrande d’Abel plutôt que celle de Caïn ? Serait-ce un cas de favoritisme ?
(ii) Que veut dire cet énigmatique verset 7 ? Devrions nous le traduire différemment ? Malgré ces difficultés, ce passage a beaucoup à apprendre au lecteur quant à la théologie du pardon.

#3 – Le grand jour du pardon

Texte : Lévitique 16.1-34

La règle des sacrifices introduite en Genèse 3.21 que nous retrouvons au coeur de la narration de Caïn et Abel trouve sa formalisation la plus complète dans le fameux passage du Yo Kipporim, un texte clé pour la théologie du pardon. [Sermon exclusivement en audio]

#4 – « Suis-je à la place de Dieu ? » —Le pardon divin reçu et appliqué

Texte : Genèse 50.15-21

Alors que Jacob, le père de Joseph, vient de mourir, ses frères s’inquiètent : et si la bienveillance de Joseph était uniquement motivée par le fait que son père était encore en vie ? Maintenant que ce dernier était mort, Joseph n’allait-il pas tenter de se venger ?

#5 – Voilà pourquoi Jésus peut pardonner vos péchés 

Texte : Matthieu 9.1-8

Dans le récit bien connu de la guérison du paralytique, Jésus démontre par quelle autorité il peut pardonner les péchés.

#6- Voilà comment Jésus a pardonné vos péchés

Texte : Matthieu 26.26-29

Après avoir vu dans la cinquième prédication de cette série pourquoi Jésus peut pardonner les péchés, ce sermon s’intéresse à la manière dont il l’a fait. Et quoi de mieux, pour ce faire, que d’analyser en profondeur un passage sur lequel nous passons souvent trop rapidement : l’institution de la Cène.

#7 – Pardonnés pour pardonner

Texte : Matthieu 18:21-35

Durant notre vie, nous avons tous d’une manière ou d’une autre subi les offenses de quelqu’un. Mais jusqu’où devons-nous aller lorsqu’une personne s’acharne contre nous ou lorsque son souhait apparent est de ruiner notre existence ? C’est en substance la question que Pierre adresse à Jésus en Matthieu 18:21. Et pour lui répondre, Jésus lui raconte une histoire, celle d’un roi qui remet la dette colossale à l’un de ses serviteurs…

#8 – Dieu ne pardonne pas à ceux qui ne pardonnent pas

Texte  : Matthieu 6.9-15

La prière du « Notre Père » est directement connecté au concept du pardon. On ne peut tout simplement pas aborder ce texte sans insister sur la notion de pardon. Outre le caractère hautement communautaire de cette prière on notera la connection immanquable que cette prière établit entre le pardon divin et le pardon humain et l’importance que revêt le pardon mutuel, une véritable question de vie ou de mort…

Autour de la théologie du pardon

Voici quelques ressources publiées sur Le Bon Combat autour du thème du pardon

• Dois-je pardonner à mon conjoint si il/elle m’a été infidèle ?
• La marque d’un christianisme authentique : une vie pardonnée
• Pourquoi Dieu doit-il nécessairement punir pour pouvoir pardonner ?
• Pourquoi la résurrection est-elle essentielle au pardon des péchés ?
• Le pardon doit-il être inconditionnel ?