Babel, là où Dieu anéantit la folie des hommes
Depuis les origines, l’humanité est en quête de progrès, d’un âge d’or qu’elle espère toujours et encore atteindre. Mais jamais l’Histoire n’a vu cette quête aboutir. Toujours, un grain de sable se glisse dans l’engrenage ; la mécanique s’emballe et, finalement, tout s’écroule. L’âge d’or tant attendu s’évanouit à l’horizon et les plans des hommes – toujours les mêmes – prouvent une fois de plus qu’ils sont vains et futiles.
Le récit de Genèse 11.1-9 nous rappelle que Dieu n’est pas insensible à la folie anime les hommes depuis la chute. Et il intervient toujours pour la réduire à néant.
Prédication sur Genèse 11.1-9, le dimanche 26 avril 2020 à 16:00 en France, 10:00 au Québec, et en rediffusion ci-dessous par la suite.
Structure de cette prédication :
(1) L’humanité se déplace (v.1-2)
(2) L’humanité planifie de construire une ville et une tour (v.3-4)
(3) Dieu inspecte les travaux des hommes (v.5)
(4) Le plan de de Dieu contrecarre celui des hommes (v.6-7)
(5) Le plan de Dieu s’accomplit à la lettre (v.8)
Conclusion : La signification du nom « Babel » (v.9)
Ressources pour aller plus loin :
- Comment faut-il lire le récit de la tour de Babel ?
- Le déluge : évènement local ou catastrophe universelle ?
- Pourquoi Canaan a-t-il été maudit pour un péché qui n’était pas le sien ?
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