Vers une théologie du travail en communauté

Dans le film « Seul au monde », Tom Hanks incarne Chuck Noland, un ingénieur qui, suite à un accident, se retrouve seul sur une île durant quatre années consécutives. Pour faire face à sa solitude, il va se créer un partenaire de conversation fictif, Wilson, en utilisant un ballon de volley-ball sur lequel il dessine un visage humain. Notre cher Chuck avait effectivement besoin d’un vis-à-vis pour communiquer et entretenir une relation interpersonnelle afin de ne pas complétement sombrer dans la folie.

Comment se fait-il que l’être humain soit si attaché à entretenir une relation personnelle avec son semblable de sorte que la situation de ceux qui se retirent dans la solitude la plus totale relève plutôt du sacrifice aux fins les plus improbables qu’une chose saine ?

Cette série d’article argue qu’il conséquence liée à notre nature même, et pour être encore plus précis, à l’image ontologique que chacun de nous porte dès sa conception. Nous avons été effectivement créés à l’image de Dieu, et cette imago Dei est lui-même ancré dans une réalité intra-trinitaire qui caractérise notre Créateur.

Retrouvez ici les trois articles de cette série :

 

(1) Le chrétien est-il réellement appelé à travailler en communauté ?

(2) Quand le Dieu trin lui-même travaille en équipe

(3) Quand Christ lui-même travaille en équipe

 

Bonne lecture !

 

 

 

Abonnez-vous au Bon Combat

Recevez tous nos nouveaux articles directement sur votre boîte mail ! Garanti sans spam.

Réflexions et ressources d'édification centrées sur Dieu