Exil, résurrection, et eschatologie chez les prophètes Ezéchiel et Daniel

Dans ce troisième article qui suit l’exposé de notre problématique concernant le lien entre le Retour d’Exil et l’eschatologie dans le discours du prophète Esaïe, regardons ce qu’en disent les prophètes Ezéchiel et Daniel.

Retour d’exil et résurrection chez Ezechiel

Concentrons-nous sur (Ez 37.1-14). Ce chapitre se trouve dans ce qui est généralement appelé « le livre de la restauration » qui couvre la dernière grande partie des oracles du prophète (Ez 33-48). Pris dans une perspective littéraire plus large, relevons que les chapitres 36 et 37 de ce livre forment un tout. En effet, il semble y avoir une inclusion marquée par la notion de restauration et de purification du peuple d’Israël au moment du Retour de l’Exil (Ez 36.22-38, 37.15-28). Notre passage forme le cœur de cette inclusion. Il est comme une illustration, une reformulation des précédentes vérités, mais cette fois-ci de façon plus imagée qu’il ne l’était déjà. Ce qui n’empêche en rien l’historicité de la vision du prophète. En effet, dans cette péricope, Ezéchiel ne va rien voir, ni plus ni moins, que des ossements qui vont se recouvrir de chair pour revenir à la vie !

Il n’est pas très clair si ce qui se passe dans ces versets est une vision ou si cela s’est réellement passé littéralement. Le mot vision n’est pas présent quand Ezéchiel dit que la main de l’Eternel était sur lui (Ez 37.1). Suivant les traductions, il n’est pas très facile de savoir si le prophète a été transporté « par » l’Esprit ou « en » esprit. Nous ne savons pas non plus quelle est cette vallée dont il parle. Le fait qu’il utilise « la » vallée pourrait faire penser qu’il s’agit de la même que celle qui est déjà citée au début du livre (Ez 3.22). Il s’agirait donc d’un endroit que nous ne connaissons pas précisément mais qui se situerait en Babylonie. Quoi qu’il en soit, le prophète constate que cette vallée est remplie d’ossements. Il y en a tellement que cela est répété deux fois pour marquer l’insistance.

De plus, ces ossements humains sont « desséchés ». Ce mot est toujours utilisé dans un contexte de malheur, de plainte, et de malédiction. C’est donc quelque chose de très négatif qui est dépeint par le prophète, comme la conséquence d’un Jugement. Puis Dieu pose la question de savoir si ces os pourront retrouver la « vie ». Ce mot est intéressant, car Ezéchiel l’utilise de manière abondante. Mais il est clair que pour lui il est lié à la vie de l’âme. La vie non pas seulement physique, mais aussi spirituelle (Ez 13.18-19). C’est également le mot qui est utilisé par Dieu dans le jardin d’Eden après la Chute en lien avec la vie éternelle qu’Adam et Eve viennent de laisser échapper par leur propre faute (Gn 3.22). Il semble donc bien ici y avoir une dimension eschatologique. De plus, le mot « vallée » cité plus haut est le même que celui utilisé pour parler de l’endroit où les hommes avaient construit la tour de Babel (Gn 11.2). Ce vocabulaire semble donc lié au vocabulaire Adamique et à celui de la Chute et du péché, et nous ramène à la notion de Jugement déjà évoquée (ce thème édénique ainsi que celui de la Nouvelle Création sera d’ailleurs développé dans les chapitres 40 à 47 du livre) [1].

C’est alors que Dieu demande à Ezéchiel de prophétiser sur ces os. Il va devoir parler à des morts. Comment peuvent-ils entendre quoique ce soit ? D’ailleurs Dieu commence en disant aux os : « Ecoutez la Parole de l’Eternel » (Ez 37.4). Cela laisse penser que ces os sont plus une image que des membres littéraux. Ce qui est réellement intéressant pour est la déclaration que l’Eternel va faire à ces ossements. Il va leur dire qu’il va faire entrer un esprit en eux afin qu’ils soient vivants. Une nouvelle fois ce langage rappelle ce qui s’est passé en Eden au moment de la Création de l’homme (Gn 2.7). Ce qui annoncé ici semble donc sous-entendre une Nouvelle Création. Un accent fort est mis sur la description physique de cette résurrection. Notons également que le mot « vivre » est utilisé ailleurs pour parler de la résurrection opérée par le prophète Elisée sur le fils de la Sunamite (2R 8.5). A travers cet acte, Dieu veut révéler sa gloire à son peuple. A peine Ezéchiel commence-t-il de prophétiser que la Parole de l’Eternel se réalise. Un bruit se fait entendre dans la vallée, les os se mettent en « mouvement ». Ce dernier mot est utilisé plusieurs fois pour parler du tremblement de terre lors de la révélation de Dieu au prophète Elie (1R 19.11-12). Il semble donc y avoir plusieurs références au cycle d’Elie et Elisée en toile de fond de ce passage – les deux ayant ressuscités des personnes.

Le prophète voit alors les os reprendre vie sans qu’il n’y ait encore d’esprit en eux. Alors Dieu demande à Ezéchiel de prophétiser à l’intention de l’Esprit, une demande presque unique dans la bible (Ez 37.9). Dans tout cette péricope, il y a un grand jeu de mot entre l’esprit de ces os et l’Esprit de Dieu. Le nombre de fois où le mot est répété montre qu’il est au centre. Rien ne peut se faire sans son action. Il arrive des « quatre vents », une expression utilisée plusieurs fois en Daniel (Dn 7.2, 8.8, 11.4). Autrement dit, il arrive de partout. C’est son action particulière qui va faire revivre ces morts. Il va souffler sur eux comme au moment de la Création d’Adam à partir de la poussière (Gn 2.7). Encore une fois, Ezéchiel n’a pas fini de parler que la Parole de Dieu s’accomplit et que les morts se tiennent sur leurs pieds. Le mot chayah qui est utilisé renvoie plusieurs fois dans l’Ancien Testament à la notion de résurrection (outre le passage d’Elisée déjà cité, cf. Jb 14.14). Et voici que Dieu révèle qui est cette armée nombreuse de morts : c’est toute la maison d’Israël, son peuple élu. C’est ici que nous pouvons voir que toute cette description semble être une métaphore. Dieu affirme que le peuple exilé crie vers lui en disant que leurs os sont desséchés. Une image pour parler de leur espérance disparue.

Il va alors donner ces dernières paroles au prophète. Il va ouvrir leurs tombes et les en faire sortir. Relevons que le mot « tombe » est le même utilisé pour le Serviteur-Souffrant (Es 53.9). C’est en mettant son Esprit en eux qu’il les fera revivre. L’esprit que l’homme reçoit est donc l’Esprit de Dieu. Cela donne une dimension eschatologique au Saint-Esprit[2]. Puis Dieu annonce la promesse du Retour de l’Exil. Il est à noter quelque chose de très important qui semble être souvent mis de côté. Il y a en fait ici deux promesses : celle de recevoir l’Esprit de Dieu, et celle de retourner dans le pays promis. Il ne s’agit pas premièrement d’une résurrection nationale, mais bel et bien d’une résurrection spirituelle. La deuxième n’ayant aucune valeur sans la première, car à quoi bon retourner habiter chez soi si intérieurement nous sommes morts ? Tout ce qui compte ici, c’est que le peuple reçoive en lui l’Esprit de Dieu. Et cela se manifestera visiblement par son Retour d’Exil (Ez 37.14).

C’est donc un retour spirituel à Dieu qui est attendu de la part du peuple. Il suffit d’ailleurs de regarder le contexte élargit pour s’en rendre compte. Au chapitre précédant et dans les versets qui concluent le chapitre 37, Dieu affirme par la bouche du prophète qu’il va purifier son peuple (Ez 36.25, 29, 37.23). Il va chasser l’idolâtrie de leur cœur (Ez 37.23) et leur donner un cœur nouveau (Ez 36.26) comme il l’avait déjà annoncé (Dt 30.1-10). Ce dernier ne sera plus dur comme de la pierre, insensible aux appels de Dieu, mais il sera de chair, signe qu’ils sont réellement vivants pour le Seigneur. Cette nouvelle sorte de circoncision devient « une promesse fondamentale pour l’espérance prophétique »[3]. C’est cela la condition de la restauration : la purification. Et l’élément central de cette dernière n’est autre que le Saint-Esprit. C’est ce que nous confirme le Nouveau Testament (Jn 3.5)[4]. Le peuple qui retournera à Dieu ne fera plus qu’un (Ez 37.15-21) et Dieu lui donnera un Messie, descendant de David, comme l’avait précédemment annoncé Esaïe. Ce sera une nouvelle nation, un « reste » purifié[5]. D’ailleurs, d’autres thèmes se rejoignent comme la multiplication de la descendance (Ez 36.37-38), le Salut (Ez 37.23), la royauté (Ez 37.22, 25). Le prophète introduit le thème d’une Alliance éternelle de paix. Bruce Waltke va même jusqu’à parler de « guerre sainte pour un royaume spirituel et non-terrestre, administré par une Nouvelle Alliance »[6].

Tout cela annonce également la résurrection physique de ceux qui recevront l’Esprit de Dieu[7]. Malgré le fait que beaucoup ne soient pas d’accord avec cette interprétation, l’insistance de l’imagerie charnelle, biologique, les liens qu’il peut y avoir avec Elie et Elisée, et même le vocabulaire adamique qui nous rappelle que l’homme n’est pas qu’une créature spirituelle, mais aussi physique, tirée de la poussière, tout cela fait grandement pencher la balance en faveur de cette compréhension[8]. Ceux qui recevront l’Esprit de Dieu afin de vivre spirituellement, d’être restaurés et réconciliés, recevront en même temps la promesse de la vie éternelle, non pas seulement spirituelle mais aussi corporelle.

Afin d’aller plus loin, regardons en quoi Daniel pourrait compléter cet enseignement.

 

Retour d’exil et résurrection chez le prophète Daniel

Le dernier chapitre du livre de Daniel est peut-être un des plus clairs et des plus intéressants en ce qui concerne la résurrection corporelle de tout l’Ancien Testament. Cependant, il n’est pas lié de manière aussi directe au Retour d’Exil que l’ont été nos deux premières études. Pour le relier à notre sujet il faut le prendre dans un contexte élargit. Deux choses nous permettent de le relier au contexte exilique. Premièrement, relevons que les chapitres 10 à 12 forment une unité littéraire qui parle de la gloire de Dieu en Exil. De plus, il est démontré que le livre possède une construction chiasmique. La fin du livre répondant au chapitre 1 qui parle de la déportation de Daniel et de ses compagnons et ayant pour thème « la fidélité dans le témoignage au sein d’un monde mauvais et idolâtre »[9].

Deuxièmement, d’un point de vue historique, notons que Daniel vit avant, pendant, et après l’Exil. Le début du chapitre 11 nous explique que Daniel a reçu une Parole du Seigneur la première année du règne de Darius le Mède qui a peut-être commencé de gouverner l’année même du Retour d’Exil (Dn 11.1) – ou même carrément avant s’il s’agit ici de Cyrus II comme certains le pensent. Il est donc probable qu’au moment de la vision du chapitre 12 ce Retour n’avait pas encore eu lieu puisque Daniel n’en fait jamais mention – ou bien nous pouvons penser qu’il était en train de se dérouler.

C’est aussi durant cette période que naît véritablement l’espérance messianique comme en témoigne le chapitre 7 de Daniel avec la figure du Fils de l’Homme qui monte sur les nuées pour recevoir des mains mêmes de Dieu le Royaume des Cieux (Dn 7.13-14). Cet homme représentant typologiquement tout le peuple d’Israël (Dn 7.18). Ce personnage messianique est également présent au chapitre 9 (Dn 9.25) qui parle clairement du Retour d’Exil annoncé par le prophète Jérémie (Jr 29. 10 ; Dn 9.2). Ce passage est aussi lié par certaines expressions à ces deux chapitres comme la mention « d’un temps, deux temps, et la moitié d’un temps » (Dn 7.25, 12.7) et celle de la Tribulation (Dn 9.26, 12.1). Il n’est donc pas illégitime de le relier au Retour d’Exil même s’il n’est pas mentionné directement.

Daniel commence en évoquant le temps d’une période de grande détresse. Ce chapitre semble nous introduire dans une perspective eschatologique forte puisque Daniel va parler de la résurrection presque tout de suite. Cette Tribulation semble désigner une période qui sera la fin des temps. C’est ce que préfigurait pour Israël la déportation en Exil. Il y a ici un double sens, puisque l’Exil et le Retour servent d’image à ce qui se passera à la fin de toute chose. Daniel explique que la fin de cette période de détresse verra le Salut de ceux qui auront été inscrits dans le livre. Ce n’est pas la première fois que Daniel fait mention de « livre » dans ses visions. Ce mot se trouve au chapitre 7 que déjà évoqué (Dn 7.10). Il est question dans ce passage (derrière le jugement historique des empires) du Jugement final qui se fera devant Dieu et les myriades d’anges.

Cette période sera une période de Tribulation où ceux qui doivent hérités du Royaume seront persécutés avant d’obtenir la victoire pour l’éternité. Les livres mentionnés sont donc des livres où sont inscrits les noms de ceux qui seront punis par Dieu et jetés en enfer pour l’éternité. Mais Daniel mentionne aussi ce livre où sont inscrits les noms de ceux qui seront sauvés – ce que le Nouveau Testament appellera le lire de vie (Ap 20.12). Cette vision ayant lieu la première année du règne de Belshatsar (Dn 7.1), nous sommes donc bien ici durant l’Exil. Tous ces liens entre ces trois chapitres de Daniel ne peuvent nous faire douter de l’attente du Retour dans le pays promis par ce dernier malgré le fait que le langage apocalyptique utilisé rende la compréhension moins claire que chez les autres prophètes.

Ce qu’il faut relever ici est le fait que ceux qui sont dans la poussière se réveilleront (Dn 12.2). Il s’agit d’un langage métaphorique qui se retrouve également chez Esaïe pour parler de la résurrection (Es 26.19). Le fait qu’ils étaient dans la poussière renvoie à la malédiction de la Chute et montre que ces personnes étaient vraiment mortes physiquement (Gn 3.19). Il est clairement question de résurrection, mais le sort de ces personnes ne sera pas identique. Il y a là une originalité unique de Daniel. Certains reviendront à la vie pour entrer éternellement dans la gloire. Les autres reviendront à la vie pour subir la damnation – elle aussi éternelle. Il y a une double résurrection : celle des justes et celle des méchants. De plus, il y a maintenant une condition qui est donnée pour accéder à la gloire : il faudra être perspicace et avoir enseigné la justice. Ce vocabulaire renvoie à celui de la sagesse biblique qui se retrouve abondamment dans la littérature sapientiale (Jb 4.17, 9.2 ; Pr 16.23, 21.16).

C’est celui qui craint Dieu qui deviendra semblable à une étoile. Un mot qui renvoie aussi bien à des images créationnelles (Gn 1.16) qu’à la bénédiction de l’Alliance abrahamique (Gn 15.5). Daniel reçoit l’ordre de sceller les paroles qu’il vient de recevoir afin qu’elles ne soient lues qu’au temps de la fin. Elles ne pouvaient pas être comprises à son époque. Christ inaugurant ces temps derniers (He 1.3), elles peuvent maintenant être comprises à la lumière de la croix. Ce n’est pas le livre de Daniel qui a été caché, mais le sens de ses paroles. C’est l’homme habillé de lin (qui représente peut-être le Christ s’adressant au Père au milieu de deux témoins qui authentifient ces paroles comme le voulait la Loi) qui annonce à Daniel quand viendrait ce temps de la fin.

Suivant notre système théologique ces temps et cette Tribulation annoncée seront placés à différents moments de la Révélation, mais ce qui compte surtout ici est la conséquence de tout cela. Le but de cette épreuve est de purifier le peuple de Dieu (Dn 12.10). Les méchants s’endurciront dans leurs péchés, mais les sages qui craignent l’Eternel comprendront la raison d’être de tout cela et s’y soumettront avec confiance et obéissance. Nous pourrions dire avec foi

L’homme habillé comme un prêtre finit par renvoyer Daniel en lui annonçant sa mort. Il lui fait également la promesse qu’après cette dernière (qui durera une durée indéterminée) il reviendra à la vie. Le fait que Daniel se tiendra debout laisse assez clairement sous-entendre une résurrection physique puisque ce dernier utilise ce mot plusieurs fois dans son livre (Dn 8.18, 10.11, 12.5).

Finalement, Daniel confirme ce qui avait été soulevé par les deux prophètes précédents. Il y aura bien une résurrection corporelle à la fin de toute chose. Daniel va même plus loin car il enseigne que même les méchants ressusciteront, et que c’est pour cela qu’il faut craindre l’Eternel. Cependant la résurrection n’est pas pour tout de suite. Ce que Dieu veut, au travers de l’épreuve, c’est se forger un peuple nouveau, pur, saint. Un peuple qui ait le cœur circoncis par l’action de son Esprit. Dieu veut sauver ce peuple qu’il aime et pour qui il continue de garder les promesses de l’Alliance, mais il ne le peut pas à cause des péchés de ce peuple. C’est pour cela qu’il enverra son Serviteur-Souffrant, afin que la justice de ce dernier soit transférée à ceux qui mettront leur confiance en lui, tout comme l’homme en lin vient de l’apprendre à Daniel. Ce n’est qu’à cette condition que les justes pourront briller comme une étoile pour l’éternité, dans un corps glorieux débarrassé du péché. Et le Retour d’Exil est une image, une illustration historique de cette promesse. Pourtant le « reste » rentré de captivité démontrera par sa vie qu’il n’a pas accepté pleinement ces promesses comme le dira Malachie au peuple (Ml 3).

 

 

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Notes et références :

[1] BEALE Gregory, A New Testament biblical theology, Baker Academic, Grand Rapids, 2011, p 560-561

[2] Ibid., p 560

[3] WALTKE Bruce, Théologie de l’Ancien Testament, Excelsis, Charols, 2012, p 523

[4] BEALE Gregory, A New Testament biblical theology, Baker Academic, Grand Rapids, 2011, p 236-237

[5] GOLDSWORTHY Graeme, Le Royaume révélé : de l’Ancien Testament à l’Evangile, Exelcis, Charols, 2005, p 88-90

[6] WALTKE Bruce, Théologie de l’Ancien Testament, Excelsis, Charols, 2012, p 419

[7] ALEXANDER Desmond T. & ROSNER Brian S., Dictionnaire de théologie biblique, Exelcis, Charols, 2006, p 591

BEALE Gregory, A New Testament biblical theology, Baker Academic, Grand Rapids, 2011, p 236-237

[8] BEALE Gregory & CARSON Donald, Commentary on the New Testament use of the Old Testament, Baker

Academic, Grand Rapids, 2007, p 98, 1121

[9] CHAUNY Pierre-Sovann, cours 3.14 théologie systématique n°10, Faculté de Théologie Jean Calvin, 2017

 

 

 

 

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Renaud Genevois est pasteur à l’Église Perspectives de Colmar. Avant cela, il a été enseignant dans des écoles chrétiennes durant plusieurs années. Il a étudié à l’Institut Biblique de Genève et à l’Institut Supérieur Protestant à Guebwiller. Il prépare actuellement un master de théologie à la Faculté Jean Calvin d’Aix-en-Provence. Renaud est allé plusieurs fois en Afrique enseigner dans un institut biblique et former des enseignants chrétiens. Il écrit régulièrement pour le Bon Combat.