Vous croyez que la Bible est inerrante (sans erreur)? Signez vite la pétition
Si vous croyez que la Bible est vraie et qu’elle est inerrante (qu’elle ne comporte absolument aucune erreur dans ses manuscrits originaux), alors ce message de Gerald Pech devrait vous intéresser au plus haut point.
Nous avions déjà dénoncé les dangers de l’inerrance limitée. Nous souhaitons maintenant nous associer à certains des théologiens évangéliques les plus prestigieux au monde et signer la pétition affirmant l’inerrance absolue des Saintes Ecritures.
En signant cette pétition, vous mettez votre approbation à l’affirmation suivante :
“J’affirme que la Bible seule, et dans son entièreté, est la Parole de Dieu infaillible dans le texte original et est, par conséquent, inerrante dans tout ce qu’elle affirme ou nie sur quelque sujet qu’elle aborde »
Signez la pétition ici
Voici le message initialement envoyé par Gerald :
Je vous invite à signer la pétition suivante à propos de l’inerrance des Ecritures, à la faire connaître aux responsables spirituels, théologiens, ministres et à vos connaissances chrétiennes.
L’heure est très grave. Beaucoup dans les églises évangéliques ont redéfini le concept d’infaillibilité de la Bible en abandonnant le sens orthodoxe historique du terme et en prétendant que la Bible est sans erreur uniquement en matière de foi et de pratique, mais non en histoire, géographie, science. Le sens normal, plénier des Ecritures maintenu par une exégèse historico-grammaticale a été abandonné au profit des méthodes historico-critiques, ce qui a permis d’adapter les Ecritures à toute sorte de philosophies et théories scientifiques antiscripturaires et de rapprocher les églises évangéliques du libéralisme.
Cette situation a conduit un comité international de 300 théologiens et savants évangéliques à élaborer les Déclarations de Chicago de 1978 (inerrance) et 1982 (herméneutique) qui ont été signées par des personnalités telles que R.C. Sproul, Norman Geisler, Francis Schaeffer, John Warwick Montgomery, Henri Blocher, James Parker et Carl Henry, pour n’en nommer que quelques uns.
Ces déclarations ont été adoptées par la Société Théologique Evangélique en 2003. Malgré cela, un nombre croissant d’intellectuels évangéliques ont affaibli, distordu ou abandonné l’inerrance, dont Craig Blomberg, Robert Gundry, Donald Hagner, Mike Licona, Clark Pinnock (devenu par la suite théiste ouvert jusqu’à sa mort). Ce néo-évangélisme est un signe d’un risque important d’effondrement de l’évangélisme orthodoxe historique.
La pétition a été signée par plus de 48000 personnes à l’heure d’aujourd’hui. L’on peut être encouragé de trouver les noms de William Craig, Ravi Zacharias, Don Carson, Al Molher, Paige Patterson, John Warwick Montgomery, etc. et, côté francophone, des théologiens d’envergure suivants : Paul Wells, Jean-Marc Berthoud et Henri Blocher (qui ont tous les trois signé cette semaine).
L’inerrance des Ecritures est la doctrine socle sur laquelle reposent toutes les autres doctrines, et le psalmiste dit à propos : ‘Quand les fondements sont renversés, que ferait le juste ?’
– Norman Geisler.
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« L’inerrance des Saintes Ecritures est le sujet théologique décisif dans l’Eglise aujourd’hui – comme elle l’a été dans chaque génération depuis l’émergence du sécularisme moderne et de la critique biblique rationaliste. Toute dénomination, toute faculté théologique et toute université chrétienne qui s’en sont éloignées ont commencé à expérimenter un déclin inexorable et la perte du témoignage biblique. L’Evangile du salut lui-même ne peut être affirmé en dehors d’une Ecriture digne de confiance. Toute autre position révèle une effroyable naïveté et une ignorance de l’histoire de l’Eglise moderne tant en Europe qu’en Amérique. »
– John Warwick Montgomery.
Sans l’inerrance de la Bible, il n’y a plus d’épistémologie authentiquement chrétienne qui tienne et la conscience du caractère unique de la Bible se perd. On raisonne alors comme si les normes humaines avaient ici une entière autorité. Chez beaucoup de détracteurs de l’inerrance, il y a une notion dualiste de l’objectivité, comme si le sujet devait être séparé de la perception de l’objet.
C’est la qualité (ou le manque de perception) du sujet qui lui permettra d’atteindre (ou de manquer) la vérité de l’objet. Sans une foi véritable, disait Thomas d’Aquin (et bien d’autres avec lui), il n’est pas possible d’atteindre en vérité cet objet divin et humain qu’est la Bible.
La pétition a été signée par plus de 48 000 personnes à l’heure d’aujourd’hui. L’on peut être encouragé de trouver les noms de William Craig, Ravi Zacharias, Don Carson, Al Molher, Paige Patterson, John Warwick Montgomery, etc.