Comment le chrétien doit-il considérer les lois sur le droit d’auteur ?
Il y a quelques, j’ai eu l’occasion d’écrire deux très cours articles (art. 1 ; art. 2) sur le droit d’auteur en réponse à un autre article publié auparavant. Cette interaction avait malheureusement une portée très limitée. Tout d’abord, on ne dit pas en
Paternité intellectuelle : finalement, faut-il respecter la loi ?
Dans les articles précédents, j’ai questionné en partie les lois actuelles sur le « droit d’auteur ». J’ai aussi questionné la pertinence de l’expression « propriété intellectuelle », lui préférant pour des raisons théologiques celle de « paternité intellectuelle ». Le lecteur du Bon Combat aura peut-être
Le chrétien et le droit d’auteur : “propriété” ou “paternité” intellectuelle ?
Dans l'article précédent, nous avons défini une théologie de la propriété, en particulier de la propriété intellectuelle, puis nous avons soulevé certains des enjeux et des difficultés subséquentes. Il nous faut maintenant aller plus loin, et distinguer clairement si le concept de