Le cycle d’Élie
Au sein des deux livre des Rois, les cycles narratifs d'Elie et d'Elisée constituent les textes les plus difficiles, souvent incompréhensibles pour les lecteurs modernes. Guillaume Bourin se penche sur ces textes dans le cadre de deux séries de prédications,
L’enlèvement d’Elie
"La fin fait partie du voyage", comme le dit Tony Stark (!). Et le prophète Elie, si grand soit-il, ne fait pas exception à la règle. Mais la fin du ministère d'Elie est très particulière, comme ce texte de 2
Apprenons des erreurs de ceux qui ont été avant nous
Achazia, fils d'Achab, lui succède comme roi sur Israël, mais il n'a manifestement rien appris des échecs de son père
Même les meilleurs d’entre nous ont leurs moments de faiblesse
Elie avait observé bien des miracles de la part de YHWH : la sécheresse instantanée ; sa protection au torrent Kerith ; la nourriture portée par des corbeaux ; la multiplication de l’huile et de la farine de la veuve, la résurrection de son
YHWH est plus fort que Baal (partie 2)
Lors de la dernière prédication de cette série, nous avons vu le prophète Elie montrer la supériorité de YHWH sur Baal sur le plan géographique, dans sa capacité à secourir les hommes à l'image de Dieu, et surtout parce qu'il
YHWH, le Dieu devant qui je me tiens !
Nous entamons une nouvelle série de prédications sur l'Ancien Testament, non sur un livre en entier mais sur deux cycles narratifs liés entre eux : celui d'Elie (1 Rois 17.1-2 Rois 1.18) et celui d'Elisée (2 Rois 2.19-2 Rois 13.25).