Si vous aimez votre prochain, avertissez-le au sujet de l’enfer
Hier, Pascal Denault offrait à l’Eglise de St-Jérôme une excellente exposition de la parabole des talents. Bien que nous ne soyons pas d’accord sur la doctrine des récompenses et sur l’interprétation d’1 Corinthiens 3, Pascal fait un excellent travail en montrant comment cette parabole fonctionne comme un avertissement solennel envers ceux qui font faussement profession de servir Christ.
J’ai aussi particulièrement apprécié les applications, notamment celles qui visaient notre inclination à accuser Dieu d’être dur ou à atténuer les descriptions de l’envers. À ce sujet, voici la citation de Charles Spurgeon qui ponctue la prédication :
Si nous donnons une description du monde à venir qui soit un tant soit peu terrible, nous sommes censés l’emprunter à Dante ou à Milton ; mais les descriptions les plus terribles et les plus accablantes de l’enfer qui aient jamais été faites par des lèvres humaines ne dépassent pas le langage du Christ qui est bon et aimant.
Il est celui qui aime véritablement les hommes, qui les avertit fidèlement du malheur éternel qui attend les impénitents, tandis que celui qui peint les misères de l’enfer comme si elles n’étaient qu’une futilité assassine l’âme des hommes sous une apparence d’amitié.
Retrouvez cette prédication ici.
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