Le moralisme ne délivre pas des pièges du diable
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Ne vous fiez pas simplement à la bonne moralité d’une personne. Elle n’est pas toujours la preuve de l’authenticité de son christianisme, comme le rappelle Charles Spurgeon :
Le diable n’a pas d’objection à ce que sa maison soit balayée et garnie ; car un moraliste peut être son esclave autant qu’un homme aux habitudes débauchées. Pourvu que le cœur demeure inoccupé par son grand adversaire et qu’il puisse utiliser l’homme pour ses propres buts, l’ennemi des âmes laissera l’homme réformer autant que cela lui plaira.
- Charles Spurgeon, sur Mt 12.43-45