Le terrible aveu de John Owen
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Admettez-le avec moi :
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Je suis pauvre et faible, et Satan est trop subtil, trop malin, et trop puissant. Il ne cesse de guetter dans l’ombre chaque occasion pour prendre l’avantage sur mon âme. Le monde me presse de toute sa force et de toutes sortes de manières.
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Ma propre corruption est violente, tumultueuse ; elle cherche à me séduire pour mieux m’attirer dans ses filets.
C’est la guerre en moi et contre moi. Les occasions et les possibilités de tentation sont innombrables, et il n’est pas étonnant que je ne puisse même pas mesurer combien profondément je me suis enfoncé dans le péché…
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C’est pourquoi à Dieu seul je confierai ma garde, et je ne cesserai pas de regarder à lui.
– John Owen (1616-1683)